Que feriez-vous si avec votre maison sur la côte de la Floride, un ouragan menace votre tranquillité ? Seriez-vous tenté de mettre à disposition un budget plus élevé pour l’assurance de votre logement ? Si l’on vous l’avait demandé de la façon la plus discrète, vous n’auriez été prêts pour sortir un tel montant. C’est ce qui arrive avec ces indices de peur.
La volatilité, un produit dit financier
Le principe n’est pas différent avec un propriétaire de maison en face d’un risque et d’un investisseurs qui injecte dans la bourse. En effet, lorsque ce dernier réalise qu’une perte de revenue au niveau de la bourse peut nuire à ses investissements, il prend la peine de les sécuriser. U le fameux ‘’ put ‘’qui sert de bouée de sauvetage. Au mieux, l’on peut se baser sur le Vix, un indice du professeur Whaley qui sert de calcul pour les achats d’option. Cet indice de la peur inventé par Whaley est ce qui permet aujourd’hui de déterminer les tenants et aboutissants dans le monde des finances. Avec le temps, plus précisément en 2002, l’indice de la peur a presque perdu sa valeur. Laissant la volatilité prendre la place d’un produit financier.
Le Vix, un indice qu’il faut surveiller de près
Les opportunités sont multiples lorsqu’on sait comment obtenir plus de fonds et lorsque les indices sont bas. Il faut bien évidemment jouer sur la volatilité, mais il convient de faire attention au Vix. On peut prendre l’exemple de ces deux traders de Goldman Sachs qui ont pris comme spéculateur le Vix pour déterminer la volatilité sur l’investissement des clients. Malheureusement, ce risque a conduit à une chute drastique du financement et pour le mieux qu’on puisse, c’était une catastrophe mondiale. En effet, la montée du Vix à un taux valant plus de 125% a conduit à l’effondrement de la Bourse américaine. Devesh Shah ne s’est pas pardonné cette tentative désespérante. Il conseille de faire attention au fauteur de trouble créé par le professeur Whaley.